Plutôt que de perdre son temps à troller sur un supposé wokisme de la (FICTIVE!!!!) Ariel, la horde d'imbéciles auraient davantage du se scandaliser d'oser citer son créateur original au prélude du film ce que même la version animée de 89 avait eue la décence de ne pas faire (me semble-t-il dans mes antediluviens souvenirs de gosse).
Ils auraient surtout pu se douter que c'était le projet en lui-même qui était de base scandaleux puisque son prequel était déjà d'une effarante et insipide relecture d'un célèbre drame Shakespearien. Et le résultat va bien au delà des craintes initiales et c'est cela qu'il faudrait dénoncer avec vigueur!!! J'ai trouvé le temps bien plus long et cauchemardesque que pour bien des œuvres expérimentales vilipendés et ignorées par ce même public si fier de sa crasse intellectuelle.
Et j'espère que Javier Bardem veut faire plaisir à ses marmots avec ce clin d'œil plus que déroutant, sinon j'ai mal pour lui d'en arriver à se rabaisser autant avec une carrière aussi enrichissante (artistiquement comme financièrement)