La porte du paradis est cet antre où évoluent plusieurs personnages. C’est un espace peuplé de corruption, d’amour et de haine. Michael Cimino signe un film qui marque les esprits, un film d’une grande puissance, d’une grande beauté. Il permet aux spectateurs une expérience visuelle imposante, une plongée dans chaque personnage comme si l’on faisait partie intégrante de leur corps et de leur âme.

Le film débute sur l’adolescence de deux camarades d’Harvard. Après de longues années ils se retrouvent en 1890 dans le Wyoming. L’un (Kris Kristofferson) est shérif fédéral. L’autre (John Hurt) est un ivrogne et fait partie d’une association d’anti immigrants. Cette association décide de mener des actions contre ces immigrants en les abattants. Le shérif Averill conteste ces atteintes à la liberté de l’homme et tente tant bien que mal de faire fuir la femme qu’il aime interprétée par Isabelle Huppert.


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Charlouille
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le 15 avr. 2013

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Charlouille .

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