Il accuse son âge, mais déjà à l'époque, il devait accuser son âge.
C'est mal joué, éreintant visuellement et auditivement. Le montage est aussi doux que du papier de verre en guise de rouleau de PQ, sans parler de l'histoire écrite avec des gants de boxe sur une Remington (machine à écrire, je précise).
Ça se veut obscure, mais pas trop, fantastique, mais pas trop, résultat, ça ne marche pas. Il faut faire un choix (en vrai, on s'en fout un peu) et on regarde Richard déambuler dans un monde sans âme.
Je vous laisserai découvrir la voix du méchant Indri cole... c'est délicieux.
Enfin, mention spéciale à la séquence finale, apothéose d'un film sans consistance, mais qui essaye malgré tout d'exister et qui, à nouveau, se vautre.