Pour devenir pasteur, un jeune homme doit épouser la veuve de son prédécesseur. C'est un grand plaisir de découvrir le deuxième long-métrage de Carl Dreyer, après Le président, qui est très loin par le ton de ses grands films à venir. Il s'agit d'une comédie qui devient même burlesque parfois avec une collection de "trognes" phénoménales. Située en Norvège, autour de l'an 1600, cette chronique est pleine de sève, d'une très belle morale et se dénoue sur une subtile émotion. Le film est bien davantage qu'une curiosité.

Cinephile-doux
8
Écrit par

Créée

le 22 déc. 2016

Critique lue 271 fois

2 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 271 fois

2

D'autres avis sur La Quatrième Alliance de dame Marguerite

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13