La Tête haute par Laura Thieblemont

Du ciné français à la Ken Loach. Quelques aberrations qui n'apportent pourtant rien au film. Non, un juge des enfants ne partage pas un repas avec les jeunes en C.E.R. Non, un éduc PJJ ne raconte pas sa vie et ne pleure pas dans son assiette face au jeune qu'il suit. Non, le proc ne vient pas s'assoir dans le bureau du juge et faire causette...
Mais ne chipotons pas, le film se laisse regarder et a le mérite d'évoquer un univers rarement traité de façon aussi réaliste au cinéma.


LauraT12
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le 16 mai 2015

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