8
"Salauds de pauvres !"
La traversée de Paris est une tromperie, un film-piège. La présence au générique de trois monstres sacrés des comédies, Jean Gabin (Grandgil), Bourvil (Marcel Martin) et Louis de Funès ; qui...
le 6 janv. 2017
69 j'aime
12
La Traversée de Paris par SPlissken
DeFunès en profiteur de guerre, coupable de marché noir, qui égorge un porc dans une cave. Il ne fait pas rire du tout l'ami Louis, il en devient même inquiétant et prouve qu'avant d'avoir été l'icone de la comédie et des grimaces cultes, il pouvait être aussi un immense acteur tragique. Repose en paix Louis tu as bercé mon enfance avec ta petite tête en caoutchouc capable de toutes les transformations possibles, avec tes énormes colères, ta mauvaise foi, tes manipulations et tout ton talent.
J'espère que la haut à la droite de dieu tu te fends la gueule comme avec Bourvil sur le siège arrière d'une cadillac !
J'espère que la haut à la droite de dieu tu te fends la gueule comme avec Bourvil sur le siège arrière d'une cadillac !
8
Écrit par
Créée
le 17 oct. 2010
Critique lue 664 fois
17 j'aime
D'autres avis sur La Traversée de Paris
7
Du lard et des cochons : le Glaude au temps des rats !
« Dans chaque Français y a un cochon qui sommeille ». Ca tombe bien, parce que le cochon se fait plutôt rare, durant l’Occupation. Pas d’inquiétude, Jambier est là, pour vous servir, Jambier, rue...
Par
le 14 nov. 2014
42 j'aime
5
9
Salauds de pauvres !!!
Marcel, un chauffeur de taxi au chômage du fait du rationnement d'essence, se reconvertit en passeur de denrées pour le marché noir, et doit transporter de la viande de cochon la nuit à travers...
Par
le 8 avr. 2011
37 j'aime
3
Du même critique
10
Critique de The Thing par SPlissken
La grande majorité des films de Carpenter partent d'un conflit, un conflit qui tend à supprimer l'individu au profit de quelque chose de plus global et surtout de maîtrisé. En somme le cinéaste n'en...
Par
le 23 nov. 2012
62 j'aime
10
10
Critique de Vol au-dessus d'un nid de coucou par SPlissken
McMurphy est un électron libre, il tente de se soustraire à la prison est choisissant l'option hôpital psychiatrique mais les fenêtres ici aussi ont des barreaux. Il va aussi découvrir que les...
Par
le 8 mars 2013
60 j'aime
4
9
7 deadly sins, 7 ways to die
Fin de l'obscurité, fin d'un film, dehors la pluie venait de cesser. Les rues brillaient, la foule réapparaissait, les parapluies se fermaient. Peu à peu toute la ville reprenait son ronronnement...
Par
le 12 oct. 2010
58 j'aime
12
