Dommage que La Vallée de la Peur, n'a été jamais vraiment reconnu à sa juste valeur dans l’histoire du cinéma, une erreur surprenante au regard de sa densité exceptionnelle et de son scénario de génie signé Niven Busch (Duel au soleil, Le facteur sonne toujours deux fois).
Car une chose est sûre : ce western hybride, avec ses salles de jeux, ses ranchs, ses falaises et ses chevauchées spectrales, est une réussite par son scénario tout d'abord signé Niven Busch (Duel au soleil, Le facteur sonne toujours deux fois) et la photographie de James Wong Howe qui fait la sophistication de ce chef d’œuvre absolu.
Difficile en effet de ne pas se perdre dans les ciels noirs, rochers et intérieurs tout juste éclairés captés par le chef opérateur et qui fait penser par moment a La Nuit du chasseur (Charles Laughton, 1955) sans parler de l'interprétation grandiose de R. Mitchum
A redécouvrir !