Critique de La Vallée du jugement par peppinacoop
Greer Garson toujours aussi douce et droite .
Par
le 11 avr. 2016
Pittsburgh, 1876. Mary trouve enfin du travail en tant que servante de la famille Scott, qui dirige des aciéries. De la longue carrière de Tay Garnett, reste l'image d'un artisan honnête qui a principalement excellé dans le film noir et d'aventures ou noir avec en point d'orgue Le facteur sonne toujours deux fois (1946). C'est l'année précédente qu'il tourna son film le plus ambitieux, cette Vallée du jugement, grande fresque très américaine sur fond de conflits sociaux et de développement industriel. Mais le scénario privilégie une histoire d'amour impossible dans un mélodrame qui a parfois la main lourde, sauvé par la grande force de l'interprétation. Gregory Peck est forcément extraordinaire et trouve en Greer Garson, vibrante et digne, une partenaire de jeu exceptionnelle. Elle était de 12 ans l'aînée de Peck mais cela ne voit pas du tout à l'écran. La vallée du jugement mériterait de devenir un classique du cinéma américain.
Créée
le 22 déc. 2016
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