Dans ce péplum franco-italien, le rôle d'Hercule est tenu - comme la mode le voulait à l'époque- par le culturiste américain Mark Forest. Point de départ de l'intrigue : En venant à bout de Cerbère, Hercule a accompli ses douze travaux en enfer et revient dans le monde des vivants. Il déracine un arbre, combat un ours, retient une statue qui tombe mais surtout s'oppose à Broderick Crawford en tyran maléfique et balafré. On ne s'ennuie pas une seconde même si tout cela reste très naïf. Il n'est pas interdit d'y prendre un certain plaisir d'ailleurs. Bon, au début du film, les créatures infernales font sourire mais il y a du rythme et de l'enthousiasme. Et puis, les décors et les couleurs ne sont pas mal.