Edmond Dantès, l'homme qui aurait dû se lancer dans la méditation plutôt que dans la vendetta
Ah, "The Count of Monte Cristo" ! Un film qui nous plonge dans le XIXe siècle, à une époque où les gens s'habillaient mieux que toi pour aller acheter du pain. On y découvre Edmond Dantès, le mec le plus naïf depuis celui qui a dit que "Game of Thrones" aurait une fin satisfaisante. Edmond, incarné par Jim Caviezel, est aussi innocent qu'un bébé Yoda qui n'a jamais entendu parler de la Force. Il rêve d'épouser Mercedes, mais son pote Fernand est plus fourbe qu'un Gremlin après minuit et fait tout capoter.
Fernand De Mondego, le gars tellement méchant que même Voldemort lui ferait des courbettes
Fernand, joué par Guy Pearce, est l'antagoniste principal du film. Un méchant tellement fourbe que s'il était dans "Harry Potter", même Voldemort lui dirait : "Hey, mec, t'y vas un peu fort, là, non ?" Il trahit Edmond plus rapidement qu'une connexion Wi-Fi instable, lançant notre héros honnête dans une spirale de vengeance plus intense que le reboot de Batman.
Richard Harris, l'abbé Faria, ou comment être un pote badass même quand t'es en prison
Le film a Richard Harris dans le rôle de l'abbé Faria, le pote d'Edmond en prison. Harris joue son rôle avec plus de style que Gandalf dans une boîte de nuit elfique. L'abbé lui révèle l'existence d'un trésor, et à ce moment-là, Edmond a plus d'or dans les yeux que Scrooge McDuck dans sa piscine.
Un scénario qui s'embrouille plus vite que tes câbles USB dans le noir
"The Count of Monte Cristo" a ce don particulier de te faire perdre toute notion du temps. Les sauts temporels sont plus déroutants que comprendre la fin d'Inception. On se demande parfois si les personnages prennent des raccourcis temporels façon Marty McFly.
Un casting qui envoie du pâté comme Deadpool avec des katanas
Le casting est la crème de la crème. Jim Caviezel apporte son charme, Guy Pearce est méchant à souhait, et Richard Harris est aussi cool que le Faucon Millenium. C'est comme une réunion de super-héros, mais sans les collants moulants. Et mention spéciale à la belle Dagmara Dominczyk, qui résiste aux vagues de drames mieux que Wonder Woman.
Une vengeance plus réussie que le comeback de Britney Spears
Malgré ses moments confus, "The Count of Monte Cristo" est un cocktail d'aventure, d'émotion, et de trahisons plus intense que le dernier épisode de "The Bachelor". Entre les rebondissements et les costumes dignes d'un défilé de la Fashion Week à l'époque napoléonienne, ce film réussit là où d'autres échouent : il te tient en haleine comme un chat devant une souris. Et rappelle-toi, même si tu ne comprends pas tous les twists, au moins, tu auras vu Guy Pearce être plus fourbe qu'un Renard Rusé dans une partie de poker.
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