Je m'en souviens plus trop mais c’était joli. Réalisation très juste pour saisir les drames et joies des aléas du quotidien, de l'ennui à la guerre, de l'intime à la foire.
Tiens, l'occasion pour rappeler que le cinéma slave est pour moi l'un des rares à encore posséder la faculté à te faire sentir chez l'habitant. Pendant qu'Hollywood, son esclave mondaine française et autre Arabollywood ne cessent de se détruire à mille petits feux, qu'importe les causes brancardées à tout va, la passion n'est plus là.