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Après des débuts marqués par l'obsession de la seconde guerre mondiale, Wajda se diversifie au tournant des années 60. Avec plus ou moins de bonheur. Adapté de l'oeuvre de Leskov (et non de l'opéra de Chostakovitch, bien qu'on y entende des extraits), le film de Wajda est d'un classicisme
absolu dans le respect des règles de la tragédie. Le ton est glacial, les personnages antipathiques au possible, sans circonstances atténuantes. Pas d'émotion, mais une puissante grandeur dans ce Wajda trop méconnu.

Cinephile-doux
8
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le 31 juil. 2019

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