Prom Night est le remake de Prom Night. Si si, je vous jure. Le premier est sorti en 2008, le second en 1980 (ou l’inverse, comme vous voulez). A l’époque, le premier film n’était déjà pas trés bien accueilli, alors imaginez celui-ci…
Pour être plus clair, déjà à l’époque, certain se sont plein d’uns scénario facile. Pour résumer, une jeune fille est traumatisé par un harceleur qui tue ses parents pour la retrouver alors qu’elle est cachée sous le lit. 3 mois plus tard (enfin, il s’évade quoi), le bonhomme sort de prison et tente de la retrouver alors qu’elle va au bal de promo avec ses super copines !
Bon, qu’est-ce que je peux dire de plus ? Qu’il ne se passe rien pendant les 45 premiéres minutes ? (sur 1H25), que la suite n’est pas flippante, mais se contente d’être un éniéme film de tueur, vaguement slasher, devant lequel on s’ennuie sérieusement ? Ou encore que le casting est raté, la mise en scéne digne d’un mauvais téléfilm, que les clichés s’enchaînent à une telle vitesse qu’on a l’impression de revoir les premiers slashers ? Qu’il y a quelques séquences de rêves bien prévisibles ?
En fait, vous le savez déjà, comme vous savez comment va se terminer le film, et presque chaque réplique avant qu’elle n’arrive. La seule chose que vous ne pouvez pas imaginer, c’est qu’Idris Elba est parti se fourvoyer dans ce machin qui ne se sauve que par sa naïveté. Bon, quand je dis qu’il se sauve… c’est relatif hein, il ne faut quand même pas le regarder. D’ailleurs, merci le nouveau systéme de notation Netflix qui ui permet d’obtenir… 98% de recommandation ! D’où viennent ils ? Aucune idée mais je méne l’enquête !