Castes et interdits
Moins connu que Abou-Seif et surtout Chahine, Henri Barakat est l'un des plus brillants représentants du cinéma égyptien classique, tout au long d'une carrière de 55 ans pendant laquelle il a tourné...
le 16 sept. 2019
Moins connu que Abou-Seif et surtout Chahine, Henri Barakat est l'un des plus brillants représentants du cinéma égyptien classique, tout au long d'une carrière de 55 ans pendant laquelle il a tourné plus d'une centaine de films. La prière du rossignol (l'un des rares disponibles en DVD) est un mélodrame flamboyant, mais pas plus outré qu'un Sirk ou un Borzage. C'est avant tout un reflet de la société égyptienne de l'époque, avec ses castes et ses interdits, et un portrait d'une lucidité effrayante sur la condition des femmes. Le noir et blanc est remarquable et la mise en scène n'a rien à envier aux maîtres américains.
Créée
le 16 sept. 2019
Critique lue 147 fois
D'autres avis sur Le Chant du courlis
Moins connu que Abou-Seif et surtout Chahine, Henri Barakat est l'un des plus brillants représentants du cinéma égyptien classique, tout au long d'une carrière de 55 ans pendant laquelle il a tourné...
le 16 sept. 2019
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
73 j'aime
14