Il s'agit de l'un des films les plus connus avec la première superstar du cinéma : Rudolph Valentino.
Ce film fait parti de ceux qui lui ont permis d'avoir un immense succès, même si cela durera, hélas, seulement quelques années.
Valentino avec sa beauté italienne, presque surréaliste joue ici un vrai psychopathe sans conscience. Il veut se marier avec sa prisonnière qui se refuse à lui et veut retourner parmi les siens. Mais peu à peu, bah, c’est aussi une facilité scénaristique : bah il y a le syndrome de Stockholm.
Oui, dans un film en apparence léger, exotique, qui raconte une histoire d’amour (même si c’est pas vraiment de l’amour là), on traite très explicitement même du syndrome de Stockholm.
Valentino alors pas encore un grand acteur dramatique : terrifie avec son regard de psychopathe et vers la fin, lorsqu’il se fait plus tendre, son regard est plus doux. Mais le film est quand même assez tordu.