Rouges et blancs
Un espion anglais et une comtesse russe pris dans les rets de la révolution bolchévique. Film atypique dans la carrière de Feyder, tourné pour les studios britanniques, qui n'a que peu à voir avec...
le 10 sept. 2019
Un espion anglais et une comtesse russe pris dans les rets de la révolution bolchévique. Film atypique dans la carrière de Feyder, tourné pour les studios britanniques, qui n'a que peu à voir avec ses deux oeuvres précédentes, Pension mimosas et La kermesse héroïque. Il est entièrement dévolu à l'idylle entre les deux héros, dans le chaos de la guerre civile entre rouges et blancs. Ultra romanesque et spectaculaire à l'occasion, un bon film un peu impersonnel, dont la crédibilité n'est pas le fort, mais on s'en fiche. Feyder, qui avait magnifié Garbo dans Le baiser, montre ici une Dietrich descendue de son piédestal, dont il gomme même la sensualité rauque de la voix. A prendre comme un divertissement et évidemment pas comme une étude sociologique ou politique de la Russie de 17.
Créée
le 10 sept. 2019
Critique lue 139 fois
D'autres avis sur Le Chevalier sans armure
Un espion anglais et une comtesse russe pris dans les rets de la révolution bolchévique. Film atypique dans la carrière de Feyder, tourné pour les studios britanniques, qui n'a que peu à voir avec...
le 10 sept. 2019
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
73 j'aime
14