La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Cinéaste italien majeur pendant au moins deux décennies, Alberto Lattuada s'est hélas perdu, vers la fin de sa carrière, à partir des années 70, dans des comédies peu ou prou érotiques, au mieux grotesques. Malgré la présence de Irene Papas, La bambina est peut-être la pire de toutes, d'une misogynie très désagréable et dans un ton libidineux qui atteint des limites déplaisantes. Inutile de préciser qu'un tel scénario ne passerait pas aujourd'hui alors qu'il était accepté au siècle dernier dans le registre affreux, sale et méchant. L'acteur principal, Luigi Proietti, aussi charismatique qu'un pou, ne fait qu'enfoncer cette œuvrette déshonorante. Avec Alberto Sordi ou Vittorio Gassman, par exemple, les meubles auraient pu être partiellement sauvés. Là, c'est un naufrage.
Créée
le 1 mars 2023
Critique lue 116 fois
1 j'aime
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
71 j'aime
13