Un vrai film à merde
Impossible de faire de vrai phrases complètes après cette séance intense de décérébrage épais. En vrac, donc, quelques touches fugaces pour donner une (oh vague !) idée. On ne parle plus de gros...
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le 18 mai 2011
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Magnificence de l'étron, putrescence du colon, Nom de dieu j'ai pas envie, mais je vais y aller par conscience professionnelle ! et Portrait de famille
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le 18 mai 2011
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le 18 mai 2011
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une bonne dose de poujadisme, une larme de passéisme et un zeste d'homophobie et hop, on obtient une bouse infâme qui fait passer Amélie Poulain pour un brûlot avant-gardiste
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le 20 janv. 2011
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Simple. Sincère. Touchant. Magnifique. Le titre, l'humilité de sa faute de français inhérente au Sud-Ouest, les vertes herbes abandonnées (et non pas encore àmandonné) et les premières paroles nous...
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le 17 avr. 2014
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