Auschwitz-Birkenau où l’horreur à l'état pur.

Mon avis---

Je vais surtout venir à l'essentiel dans ma critique, je peux dire que depuis plus de
quarante ans, j'ai lu, vu et découvert des films, documentaires, documents et ouvrages sur la Shoah, car cette époque remplie de honte et d'horreur en tous genres et du martyre de tous ces millions d'innocents. C'est toujours en pareil cas que l'homme dévoile toute sauvagerie pire que bestiale qui l'habite. En général tout le monde connaît ou a eu vent de toutes les horreurs et atrocités des camps de concentration. Je trouve que ce film à réaliser d'une manière pertinente et extrêmement réaliste et cela sans aucun voyeurisme un film fort, très fort sur cet enfer sur terre qui régnait dans ces camps. Le film a aussi trouvé sa puissance sur l’atmosphère et la vision de toutes les scènes d'horreur en employant le floue pour que l'on puisse découvrir l'horreur, mais sans voyeurisme en laissant place à la suggestion visuelle d'images nettes et d'autres floues. En plus pour augmenter la perception de l'horreur, mais sans voyeurisme en laissant place à la suggestion visuelle d'images nettes et d'autres floues. En plus pour augmenter la perception de l'horreur, il a de manière fort intelligente mit tous les bruits de voix des nazis hurlants, vociférants en bruit de fond, comme cela, on entrait de manière incroyable dans la sensation que devait ressentir tous ces malheureux. Bien sûr, cela ne remplacera jamais l'horreur que devait subir au quotidien tous ces malheureux, mais cela nous donnera encore plus compassion envers ces millions de malheurs. Pour finir, comme dit plus haut la réalisation de László Nemes est pour moi parfaite. Les acteurs ont joué de manière sobre et parfaite leur rôle. Mon seul bémol, c'est le rôle de Saul qui déambule dans les scènes du film à la recherche d'un rabbin pour pouvoir enterrer le jeune homme qu'il a vu dans la chambre à gaz et qui lui a fait penser à son fils. Là je peux dire que cela m'a gêné un peu, mais le réalisateur a pris ce prétexte pour justement voir toutes l'organisation du service " Sonderkommando " depuis le gazage, les chambres à gaz, des exécutions sommaires, de la Shoah par balle, des fosses pour brûler en masse les morts, etc. Pour conclure ce film est un monument en mémoire de tous ces millions de victimes du nazisme.

Résumé---

Octobre 1944, Auschwitz-Birkenau. Saul Ausländer est membre du Sonderkommando, ce groupe de prisonniers juifs isolé du reste du camp et forcé d’assister les nazis dans leur plan d’extermination. Il travaille dans l’un des crématoriums quand il découvre le cadavre d’un garçon dans les traits duquel il reconnaît son fils. Alors que le Sonderkommando prépare une révolte, il décide d’accomplir l’impossible : sauver le corps de l’enfant des flammes et lui offrir une véritable sépulture.

Prix---

36 prix, dont 17 en tant que «meilleur film étranger»
Sans s'en douter, il amorçait alors le début d'un long marathon de festival et récompenses. Au total, depuis mai 2015, Le Fils de Saul a remporté 36 prix, dont 17 en tant que «meilleur film étranger». Les Oscars ne s'y sont donc pas trompés. Auparavant, les Golden Globes, les Critic's Choice Awards, les Satellite Awards, le Syndicat français de la critique de cinéma, les Independant Spirit Awards ainsi que de nombreux autres prix critiques avaient également loué les talents de Lázló Nemes pour un prix similaire.