Preston Sturges dépasse les bornes du bon goût avec ses gros sabots habituels. N'est pas Capra qui veut.
J’étais jusque-là partagé sur Preston Sturges. J’avais trouvé The Lady Eve brillant, mais les Voyages de Sullivan particulièrement navrant.
Malheureusement, cet opus tient plus du second. Le même ton, la même vulgarité. Je me suis rarement senti aussi mal devant un film. Il avait déjà eu une des idées les plus pitoyables qui soit avec les Voyages, digne d’un Bienvenue chez les Chti (un cinéaste de bonne famille décide de se faire passer pour pauvre pour voir l’autre côté et apprendre de la vie…), il continue ici de la même manière. On est entre le Dîner de cons et le Million.
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