Certains films m'avaient pourtant mis en garde sur le fait qu'une excellente affiche peut donner un nanar. Qui aurait pu croire que ce fut le cas avec des calibres tels que Lawrence d'Arabie (Peter O'Toole) et Donald Pleasence ? Le drapeau improbable et l'absence de détails suggère que ladite dictature pourrait se trouver à peu près partout dans le monde (En Afrique, En Amérique Latine ou en Asie du Sud Est. Le problème avec cette donnée universaliste est qu'on garde omniprésente à l'esprit la question du lieu au détriment du scénario... qui est lui aussi passablement embrouillé. Si j'ai apprécié des films comme Z de Costa-Gavras, c'est parce qu'on sait où l'action se déroule et quel est le régime concerné. Conclusion : Un film pas tout à fait inutile mais pas indispensable non plus.