Les meilleures histoires sont les plus courtes. Si Le Jour le plus long est une fiction, il en va de même de l’histoire que narre ce film, et pour cause, le débarquement de Normandie n’a jamais eu lieu !
Nous démontrerons après l’inanité des discours fumeux sur ce débarquement fictif, dont on célèbre encore les anniversaires, et avec quel faste (rien que cela devrait nous mettre la puce à l’oreille) ! Mais il faut d’abord comprendre les raisons d’un des plus grands mensonges de l’histoire, avec le mythe du 11 septembre 2001 ou encore celui de l’atterrissage des Américains sur la lune ! En effet, le débarquement en Normandie n’a jamais eu lieu. Le seul débarquement américain en France lors de la Seconde Guerre mondiale fut organisé en Provence, à partir du 15 août 1944…
Mais pourquoi ce mensonge ? D’abord parce que, dans leurs relations déjà difficiles avec les Soviétiques, les Américains s’étaient engagés dès la conférence de Téhéran en décembre 1943 à créer un second front au printemps 1944 avec un débarquement dans le Nord de la France, en même temps que serait lancée la grande offensive soviétique, pour prendre en étau les Allemands. En échange, les Russes acceptaient le principe de la création d’une nouvelle organisation internationale, pour succéder à la SDN (qu’au départ ils ne souhaitaient pas).
C’est bien beau, me direz-vous, mais quelles preuves peut-on avancer, il y a bien des témoignages, de nombreuses traces du débarquement ? De multiples détails auraient dû attirer notre attention depuis longtemps, mais nos historiens officiels ont tout fait pour masquer les incohérences du scenario monté par les Américains…
Voyons de plus près ces raisons de bon sens qui montrent bien que le débarquement n’a pas pu avoir lieu. Première preuve, le débarquement était tout bonnement impossible dans le Cotentin et en Normandie, malgré quelques plages, du fait des falaises ! Prenons l’exemple de l’épisode de la Pointe du Hoc, que l’on voit dans Le Jour le plus long : croyez-vous vraiment possible de débarquer dans ce lieu (cliquer ici pour voir une photo) ? Le site n’a pas été choisi au hasard pour construire la légende, il était parfait avec la présence de cratères présentés comme des preuves de combats. Mais il faut savoir que de récentes analyses au carbone 14 font remonter ces cratères au début du XVème siècle, en pleine guerre de cents ans, au moment où Henri V reprend la Normandie ! Et puis, contrairement à une légende répandue, la Normandie était aussi en 1944 bien défendue que le Nord-Pas-de-Calais, notamment avec la 352ème division allemande, mais aussi avec plusieurs divisions de Panzer capables d’intervenir très rapidement. Pourquoi débarquer ici, aussi loin des bases arrière britanniques ? C’eut été suicidaire !
Ensuite, les conditions météorologiques du 6 juin 1944 : d’après les relevés de l’époque, les conditions étaient médiocres pour un débarquement, avec du vent et une couverture nuageuse qui ne pouvaient qu’empêcher les bombardements nécessaires à la réussite d’un débarquement aussi difficile, compte-tenu de la solidité du Mur de l’Atlantique édifié par les Allemands. D’ailleurs, le 5 juin, le maréchal Rommel, qui n’était pas un débutant et s’occupait alors de la défense des côtes normandes, avait quitté la région pour l’Allemagne, la force du vent et l’état de la mer rendant manifestement impossible un débarquement. De toute façon, les Américains n’auraient jamais pris un tel risque. Même si les temps ont un peu changé depuis, les Américains ont toujours voulu limiter le nombre de leurs victimes, et ce n’est pas pour rien qu’ils ont largué des bombes atomiques sur le Japon en août 1945…
Pour marquer de façon indiscutable le pseudo-sacrifice américain, on a même installé des cimetières dédiés aux victimes américaines, comme celui de Colleville-sur-Mer. Mais si on regarde de plus près les chiffres, des erreurs ont été commises ! En effet, les médias officiels reconnaissent un total de 21 000 morts américains lors de la bataille de Normandie. Comment expliquer alors que le nombre total d’Américains inhumés dans les deux cimetières américains de Colleville-sur-Mer et de Saint-James soit de 13 798 alors que 14 000 corps ont été rapatriés ? Comment expliquer pourquoi les Américains, d’habitude si patriotes et si sensibles et à juste titre, aux corps de leurs victimes, n’aient pas rapporté tous les corps de leurs morts aux Etats-Unis ?
Enfin, que peut-on dire des traces de ce débarquement, si ce n’est qu’on n’en trouve bien peu ? Car 160 000 hommes qui débarquent, de plus difficilement, ça laisse des traces, non ? Et bien, pas tant que ça, manifestement. Bien que les armements aient beaucoup évolué depuis la première guerre mondiale, on est loin de Verdun, pas grand-chose de visible dans le paysage. Et que prouvent les nombreuses photos que l’on nous met à disposition ? Strictement rien du tout, il y eut de nombreux débarquements à l’époque en des lieux très différents. Et Le Jour le plus long a bien été tourné en partie en Corse (pour le débarquement d’Omaha Beach !), et ça ne se voit pas. Que prouve donc cette multitude d’images ? Rien du tout…
Cet incroyable mensonge, il a fallu le construire : de même que quelques années plus tard, les services secrets américains s’offrirent les services de Stanley Kubrick pour réaliser des images attestant l’alunissage d’Apollo 11, ils employèrent alors Cornelius Ryan pour consolider le plus gros bobard de l’histoire de l’humanité ! Le journaliste écrivit deux bouquins dont "Le jour le plus long" et "La chute de Berlin". Ouvrages qui, malgré leurs piètres qualités littéraires, ont été traduits en 19 langues et furent soutenus par une formidable campagne de marketing leur permettant d’être écoulés en plus d’une dizaine de millions d’exemplaires… Lisez "Le jour le plus long", l’ouvrage semble bien documenté, il raconte les histoires de très nombreux personnages, mais jamais Ryan ne cite ses « témoins », il ne fait que retranscrire leurs témoignages. Avouez que cela est curieux !
Comme cela ne suffisait pas pour marquer définitivement les esprits, on décida d’utiliser l’arme du cinéma : Le Jour le plus long fut alors le film le plus cher de l’histoire du cinéma (10 millions de dollars de budget), il fut tourné sur 31 lieux différents et nécessita l’utilisation de pas moins de 23 000 soldats issus des armées américaines et françaises. Avec un casting de malades ! Le film, comme le livre de Ryan, fourmille de détails. Il aurait pu se contenter d’un aspect, mais non, on écrit la légende, il faut aborder la question de tous les points de vue, que ce soit les soldats américains, mais aussi les Allemands, ou les Français ! Print the legend disait John Ford !
Dans Le Jour le plus long, les Américains sont évidemment présentés comme des héros, mais c’est quand même culotté quand on sait la vérité ! La propagande américaine est prête à tout pour renforcer la croyance en l’existence de cet événement. Récemment, on a même cru bon de répandre la rumeur selon laquelle de nombreux soldats américains se seraient rendus coupables de viols en Normandie après le débarquement, mais bien sûr, pour atténuer l’allégation, on a imputé la responsabilité de ces crimes fictifs à des soldats noirs ! (ils tentent de renforcer leur mensonge comme ils peuvent, tant pis pour les dommages collatéraux)
L’absence d’un débarquement en Normandie a de plus l’avantage de permettre de mieux comprendre certains mystères. Comment sans cela expliquer que les Américains aient finalement accepté de laisser les rênes du gouvernement provisoire à De Gaulle, détesté par Roosevelt et Churchill, alors qu’une administration américaine de la France, pays allié à l’Allemagne nazie, était préparée de longue date (AMGOT) ? Comment expliquer aussi l’admission de communistes au sein de ce gouvernement alors que De Gaulle les détestait royalement, et les avait bien niqués par exemple dans le Vercors, si ce n’est parce que les Russes acceptèrent de fermer les yeux sur le pseudo-débarquement en vue de certaines contreparties (partage de l’Europe à Yalta) ?
Le débarquement de Normandie n’est donc qu’une vaste fumisterie, et Hollywood joua un rôle clef dans la consolidation du mythe par le biais de The longest day. Et par de nombreux autres films que se sont précipités à produire les Américains, pour justifier ce qui n’a jamais existé ! On nous parle par exemple de l’opération Fortitude, soi-disant destiné à berner les Allemands, mais c’est nous qu’elle leurre encore, permettant de nous faire croire à la réalité de l’opération Overlord !
Pour plus d’infos, les preuves de ce que j’affirme sont nettement établies :
http://www.phdn.org/negation/fous/intoxnormandie.html
N’hésitez pas à diffuser ce lien !
Bref, le Jour le plus long est une belle histoire, mais ce n’est justement qu’une histoire, loin de l’Histoire avec une grande Hache, la vraie, celle de la domination de l’impérialisme américain qui écrase tout pour asseoir ses vérités. Il aurait dû apparaître évident à tout le monde que depuis le début, il y avait anguille sous roche…