Une Série B lénifiante et réalisé sans grand talent ni conviction

Un policier (aigri & en colère) aux méthodes violentes se retrouve du jour au lendemain dans les journaux, suite à l’article d’une journaliste qui dénonce ses méthodes. Au même moment, une bande de voyous psychopathes sème le désordre dans les tunnels du métro de New-York, dépouillant ou assassinant ses victimes. Le flic et la journaliste vont s’unir pour mettre un terme à leurs agissements.


James McCalmont, à qui l’on doit le post-apo Escape from Safehaven (1989), réalise ici son second (et dernier) long-métrage. Le Justicier du Métro (1989) est un thriller urbain, réalisé sans grand talent (aussi bien au niveau des acteurs que de la mise en scène). 83min lénifiantes, entrecoupées par des scènes de violence sans grand intérêt et des dialogues sans réelle recherche. Une Série B qui aura fait le bonheur des cinéphiles dans les années 90 dans les rayonnages des vidéos-clubs.


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le 24 juin 2020

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