Adieu Paul Kersey!
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le 4 oct. 2011
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La faiblesse principale de Death Wish V : The Face of the Death est qu’il ne dit rien, ou alors si peu, du milieu investi, à savoir la mode. De plus, la thématique de la filiation, introduite par la relation entre le vengeur et sa fille adoptive, n’est employée que comme le prétexte à un ultime retournement de situation assez facile, quoique efficace. Car il faut bien reconnaît que le long métrage d’Allan A. Goldstein, s’il ne brille ni par sa finesse ni par son originalité, réussit ses scènes d’action et offre un divertissement violent, peut-être le plus brutal de la saga ; il bénéficie du même directeur de la photographie que l’opus précédent, Gideon Porath, qui soigne son imagerie et ses cadres. La traque à domicile reste en mémoire, de même que l’affrontement dans l’usine de vêtements ou l’agression dans les toilettes du restaurant. Dommage que l’écriture des antagonistes s’avère à ce point bête et manichéenne, abusant des sévices pour combler péniblement les trous d’un scénario inexistant.
Reste papy Bronson, toujours saisissant dans un rôle mêlant impassibilité, tendresse et cruauté.
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le 25 mars 2021
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