Habile, Ray reprend le duo de Charulata. L'alchimie amoureuse passe si bien. La lâcheté et la cruauté d'une femme surtout.
Ç’aurait dû s’appeler La Lâche en fait.
Les mecs bien restent toujours seul, CQFD. Mieux, les filles qu’ils aiment en profitent pour être cruelles avec eux.
La scène finale est admirable. Un zeste de celle du Lauréat, mais avec l’épilogue de leur relation situé une heure après et que Nichols n’a pas montré. Qui est lâche ? L’homme ou la femme ?
Manque juste une ou deux séquences de plus, le film passe un peu trop vite.
La maîtrise de la mise en place au niveau de la caméra et des acteurs frise la perfection. Quant à l’utilisation de la musique, elle tient clairement du génie. Le Lauréat, premier film du nouvel Hollywood ? na, na, na ! Ray était là avant !
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