Le Mépris par Charlotte Nivet
Bardot agacante, thème musicale trop, beaucoup trop répétitif, enjeux du -certes, roman de gare- de Moravia inexistants. (où est la description de la souffrance déchirante de Riccardo ? Ou est la lente tombée dans la folie de son amour pour Emilia ? "Ce n'était pas les enjeux du film tu comprends....." ah, d'accord. Filmons Bardot mettre une perruque et faire la moue pendant 10 minutes, tu as raison)
On dira que Godard a réussi à faire un chef d'oeuvre cinématographique d'un torchon littéraire italien....... Mais bon. C'est facile quand on s'appelle Godard et qu'on fait appel à Bardot en 63.
Moravia, je reste fidèle à ton certes roman de gare assez touchant.