un monde perdu, dix de retrouvés
Tout d'abord, mention spéciale à Perer Stormare qui malgré son rôle secondaire, déborde de classe et qui nous apporte peut-être la scène la plus prenante de tout ce long-métrage !
Après, les dinos sont toujours assez classe, malgré les raptors qui sont incapables de nous redonner la même frousse quue dans l'opus précédent.
L'humour est juste désastreux et donne vraiment envie de se cimenter les oreilles ; c'est dommage car j'aimais bien le personnage de Malcolm. Plus maintenant.
La fin m'a fait mal aussi... Le Trex qui se libère on-ne-sait-comment du bateau, se pointe en ville et nous fait un godzilla-remake plus qu'inutile sur papier, un peu moins inutile pour en mettre plein la vue. Spielberg voulait nous caser son Trex en milieu urbain, et c'est tout à fait louable. Mais Pas de manière aussi inutile et bâclée, merde quoi.