La fille en rouge, le garçon en bleu, et voilà deux parapluies neuneus.
Avant la projection des «Mondes de Ralph», l'an dernier, on avait découvert le court-métrage «Paperman» et sa presque touchante histoire d'amour dans un monde en noir et blanc, où la seule touche colorée est celle d'un baiser imprimée sur un avion de papier. A la fin, l'objet réunit deux humains qui tombent amoureux l'un de l'autre.
Rebelote dans «Le Parapluie Bleu» où l'on nous sert cette fois l'idylle de deux pépins, seules touches colorées dans un monde en noir et blanc. A la fin, les objets réunissent deux humains qui tombent amoureux l'un de l'autre.
La beauté des décors urbains réussit à peine à faire pardonner cette impression de déjà vu neuneu.
Note au scénariste : on peut raconter une relation sentimentale entre deux êtres sans peindre l'un un bleu pour en faire un garçon et l'autre en rouge, avec une bouche pulpeuse et du maquillage, pour que l'on comprenne bien que c'est une fille.