On pourrait qualifier Le Pari de comédie franchouillarde, et oui, c'est le cas, et ça ne m'empêche pas de l'aimer, au contraire.
Les situations sont pleinement exagérées mais décrivent à mon avis parfaitement bien cette difficulté d'arrêter de fumer, quand celle-ci d'abord une habitude devient un besoin aussi nécessaire que manger ou respirer.
On est carrément dans l'humour habituel des inconnus et de leur caricature de la société. Je me retrouve par exemple carrément dans ces repas de familles et de ses tensions qui s'installent.
Le problème réel de ce film c'est de vouloir chaque fois en faire trop, ça en devient lourd au point que je comprends pourquoi je ne me souvenais pas de la fin, loin d'être marquante après cet ensemble de renversements de situations.
On dénombre quand même tout un tas de phrases qui font mouches et de moment succulents, je pense par exemple à la fin de la scène chez Gilbert (Régis Laspalès).
PS : J'arrête quand je veux !