Qu'on s'entende ça reste un grand film mais j'peux pas enlever qu'je suis un poil déçu. On m'avait vendu cet opus comme le banger de la trilogie et j'ai préféré le premier.
Alors évidemment, rencontrer le jeune Vito, campé par un très talentueux De Niro, est assez jouissif. Découvrir ce New-York, du début du vingtième siècle, superbement mis-en scène, est tout aussi jouissif. Dénuder cette Cuba, quelques jours avant la révolution de Fidel est encore une fois, très jouissif.
Bon ! Oui, c'est pas si décevant finalement. Je ne sais pas j'ai moins kiffé. Je ne saurais pas dire pourquoi.