Love Love
Un soir un inconnu agresse et viole Mélie (Marlène Jobert). Elle le tue et transporte son corps dans un break puis s'en débarrasse dans une crique. Mais le lendemain , un homme mystérieux nommé Harry...
Par
le 13 oct. 2022
8 j'aime
8
Marlène Jobert est plus choupinette que jamais. Tellement que quand le pistolero qui se prend des baffes dans Mon Nom Est Personne (ouais, la flemme de chercher le nom de l'acteur, et de toute façon, c'est cette image de lui face à Terrence Hill qui s'impose) descend du bus, il s'introduit chez elle et la viole. Là, Rape and Revenge express, Marlène le fourre à la chevrotine avant de le balancer à la mer. Sauf que, le lendemain, Charles Bronson arrive en mode détective joli coeur, et cuisine Marlène pour lui faire avouer le meurtre.
Ce jeu du chat et de la souris entre les deux reste le gros morceau du film, une sorte de relation à la limite de l'amour SM, de la relation toxique, et le film réserve quelques surprises sympa dans le développement de ses personnages comme de l'enquête, et c'est fait de manière maline, sans en faire des caisses. L'ambiance 60-70 est cool, la musique de Francis Lai aussi, et le cast itou: On a Annie Cordy en maman pochtronne et Jean Piat en maquereau!
Bref, au-delà de la curiosité, c'est vraiment sympa.
Créée
le 9 août 2024
Critique lue 6 fois
D'autres avis sur Le Passager de la pluie
Un soir un inconnu agresse et viole Mélie (Marlène Jobert). Elle le tue et transporte son corps dans un break puis s'en débarrasse dans une crique. Mais le lendemain , un homme mystérieux nommé Harry...
Par
le 13 oct. 2022
8 j'aime
8
Rapidement René Clément a su installer un climat intriguant ce qui fait de Le Passager de la pluie un film prenant dès le début, durant trois quart-d'heure c'est un bon thriller et le duo...
Par
le 27 sept. 2015
5 j'aime
2
J'aurais bien vu Claude Chabrol proposer un tel film ; une jeune femme violée va tuer son agresseur puis va être suivi par un mystérieux américain qui semble très bien la connaitre. Il y a là la...
Par
le 15 sept. 2015
5 j'aime
Du même critique
Je m'attendais à un long clip à tendance arty, et si en effet le film tend vers l'arty-contemplatif, on est pas dans le clip, ni non plus dans la promo du produit musical. Alors oui, les Daft Punk...
il y a 5 heures
Un polar français qui, à l'image de son époque de production (1979, la fin du giscardisme, mais pas encore les 80's mitterandiennes), a un peu le cul entre deux chaises. D'un côté, ça se veut un film...
hier
De Palma a fait tellement de films cultes qu'on met trop vite de côté ses autres films. Et pour Le Bûcher des Vanités, se pose en plus une sale réputation, du fait que le film a fait un gros...
il y a 2 jours