6
Mélo à rallonges
Récompensé par 9 Oscars, ce grand film aux à-côtés un peu épiques, renoue avec les grandes fresques d'autrefois, un peu dans le style des films de David Lean ou de Out of Africa, et bénéficie d'une...
Par
le 13 nov. 2016
21 j'aime
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Le goût de la vie.
Lassée par les affres de la guerre, une infirmière recueille un homme gravement brûlé et qui va lui narrer ses souvenirs afin de savoir comment il en est arrivé là.
Fort de ses neuf Oscars, je me méfiais un peu de ce film, sans doute à tort, car il représente un de mes genres favoris, à savoir le mélo, mais sans que ça soit dégoulinant. Une romance, un adultère entre deux êtres qui se sont épris jadis, malgré les risques.
Il est à noter que les acteurs sont tous très bons, n'en faisant point trop, et semblant être dans la retenue de leurs passions. Juliette Binoche y est remarquable, car elle projette dans l'histoire de cet homme le souvenir refoulé de cette guerre, et voir combien l'amour peut tout sublimer.
Je pourrais parler de Kristin Scott Thomas, magnifique, et pour laquelle on se damnerait, ainsi que le rôle assez difficile de Ralph Fiennes, ou encore la folie de douce de Willem Dafoe. Mais je retiens de ce film la folle passion entre K.Scott Thomas et Ralph Fiennes, alors que la guerre fit rage.
C'est vraiment bien filmé, très bien composé (très beau thème de Gabriel Yared), on n'est pas loin des films épiques d'antan, avec de l'amour en plus.
Fort de ses neuf Oscars, je me méfiais un peu de ce film, sans doute à tort, car il représente un de mes genres favoris, à savoir le mélo, mais sans que ça soit dégoulinant. Une romance, un adultère entre deux êtres qui se sont épris jadis, malgré les risques.
Il est à noter que les acteurs sont tous très bons, n'en faisant point trop, et semblant être dans la retenue de leurs passions. Juliette Binoche y est remarquable, car elle projette dans l'histoire de cet homme le souvenir refoulé de cette guerre, et voir combien l'amour peut tout sublimer.
Je pourrais parler de Kristin Scott Thomas, magnifique, et pour laquelle on se damnerait, ainsi que le rôle assez difficile de Ralph Fiennes, ou encore la folie de douce de Willem Dafoe. Mais je retiens de ce film la folle passion entre K.Scott Thomas et Ralph Fiennes, alors que la guerre fit rage.
C'est vraiment bien filmé, très bien composé (très beau thème de Gabriel Yared), on n'est pas loin des films épiques d'antan, avec de l'amour en plus.
7
Écrit par
Créée
le 22 oct. 2013
Critique lue 392 fois
5 j'aime
D'autres avis sur Le Patient anglais
3
Attention, ça dégouline ! (putain, j'ai ruiné le canapé...)
Triste constat à l'arrivée. J'étais parti bon public, les yeux de ma douce pleins d'espoir et dans l'idée de me laisser tenter pour une fois par un bon gros mélo. Le film commence, je regarde la...
Par
le 24 sept. 2013
18 j'aime
3
7
Am I K. in your book ?
Par où commencer ? Premièrement, j’ai aimé The English Patient. C’est long, 2h41, mais en faisant un entracte après un peu plus d’une heure et demie, j’ai pu profiter pleinement du film. Je trouve...
le 9 juin 2016
15 j'aime
4
Du même critique
3
On tronçonne tout...
(Près de) cinquante ans après les évènements du premier Massacre à la tronçonneuse, des jeunes influenceurs reviennent dans la petite ville du Texas qui est désormais considérée comme fantôme afin de...
Par
le 18 févr. 2022
44 j'aime
7
Arnold Strong.
Longtemps attendues, les mémoires de Arnold Schwarzenegger laissent au bout du compte un sentiment mitigé. Sa vie nous est narrée, de son enfance dans un village modeste en Autriche, en passant par...
Par
le 11 nov. 2012
44 j'aime
3
3
God save Goku.
Ce nouveau film est situé après la victoire contre Majin Buu, et peu avant la naissance de Pan (la précision a son importance), et met en scène le dieu de la destruction, Bils (proche de bière, en...
Par
le 15 sept. 2013
42 j'aime
9
