Balzac superstar du cinéma français sous l'Occupation. La 7ème adaptation, chronologiquement, bien que sortie en 1945. Et elle est bonne 1. Parce que fidélité à l'auteur 2. Parce que mise en scène sobre et coulante comme un bon camembert 3. Parce qu'interprétation remarquable de l'immense Pierre Larquey. Pierre Renoir en Vautrin n'est pas mal non plus alors que Georges Rollin est un peu faible en Rastignac. Globalement, c'est de la belle ouvrage, ma bonne dame.

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le 7 août 2019

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