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Un shomingeki bienveillant et parfois trop sentimental d'un cinéaste présent une fois à Cannes (avec Vagues) et nommé à deux reprises pour l'Oscar du meilleur film étranger. Le film déroule la chronique d'une famille soudée, entre les parents et les 4 enfants, locataire de son appartement et en presque constante difficultés financières. Qu'importe se fait voler une prime de travail ou si la fille aînée a du mal à s'affirmer dans son choix de carrière de peintre, c'est dans l'amour des siens que chacun, à la maison, s'épanouit. C'est charmant et puis il y a Hideko Takamine, pas de quoi bouder son (relatif) plaisir.
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Créée
le 6 mai 2023
Critique lue 11 fois
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