Cette transposition du roman de Léon Tolstoï n’est pas avouée. Ce qui paraît a priori suspect.
Le maquillage des prisonniers est grotesque [11’50]. L’animosité entre les deux n’est pas compréhensible et leurs discussions sans intérêt.
Le jeu d’Oleg Menshikov ne colle pas avec la situation [36’25]. La romance entre Dina et Ivan, présente de manière discrète dans le roman (elle a treize ans), ne tient pas dans le contexte du film.
J’arrête après la scène de danse sur le toit qui est seulement un prétexte pour filmer un paysage… pour les agences de voyage [50’50].
Lire :
• Léon TOLSTOÏ, Le prisonnier du Caucase, 1872 [Partage en ligne].
• Revue de presse Caucase, Monde en Question.
• Dossier Caucase, Monde en Question.