Adapté du roman de Ayn Rand, King Vidor explore le monde des artiste, leurs liberté, leurs fierté ainsi que leurs limite. Et avec "Le rebelle", c'est à l'architecture qu'il est question, l'univers de l'art, un univers terrible, où la loi du plus fort vie en maître.
Interprêté part l'un des plus grand acteur américain, Gary Cooper, il endosse le rôle de Howard Roark avec brio. Solitaire, fort, doté de sa carrure imposante, il va lutté contre l'opinion publique avec courage. Mais au delà du thème, réside dans ce film une histoire d'amour peu conventionnelle. Une romance rare, sauvage, lointaine, formé avec la magnifique et électrisante Patricia Neal.
King Vidor offre un parallèle intense, des sacrifices caractèrielle au dépend de leurs propres bonheur ...
En somme, "Le rebelle" est une formidable rencontre entre l'art, l'Homme et l'amitié, car l'autre élément très fort de cette oeuvre, est le respect imposé part un homme, qui, tel un sauveur, arrivera à faire changer les choses, ou tout du moins quelques personnes, et même les plus féroce à première vue.
En outre, on ne ressort pas indemne de ce film, et en un seule mot, ou plutôt en deux, arrivé au final, c'est toute la rage contenu avant, toute cette dure lutte, tout cet amour gâché qui s'efface et qui laisse place aux sentiment et aux émotion, pour nous cueillir aux plus profond et ressentir la vrai puissance.