Ce quatrième volet de la franchise mettant en scène le plus célèbre inspecteur du cinéma, dans un premier temps est juste une enfilade de scènes d'actions musclées. Ensuite, lorsque Callahan s'expatrie hors de San Francisco cela se concentre sur l'enquête policière plus classique avec plus d'intérêt psychologique et une intrigue moins basique. La réalisation malgré le fait qu'il ne s'agisse pas d'un film d'auteur est plus sombre et voit plus de mouvements aériens des éléments typiques du style Eastwood des débuts. Sinon il y a énormément de meurtres, des répliques cultes (Smith, Wesson and me ou encore Go ahead, make my day !), une distanciation avec le réel et une dérive hors-la-loi encore plus accentuée de l'anti-héros.