L'éternel Roi Lion

Il y a plus de deux mois, ma sœur et moi ont n’es aller à Paris, où on n’as assisté au théâtre du Mogador à une représentation du sublime spectacle musical Le Roi Lion. Ainsi m’es venu l’idée de faire une critique sur ce film marquant de mon enfance. Et avant de commencer, sachez que je ne prendrais pas en compte les ressemblances avec Le Roi Léo. Tout simplement, parce je n’ai ni lue le manga, ni vu aucune de ces adaptations.

POINT POSITIF

Âge d’or visible : Je parle bien sûr de l’animation pour ce point. On ressent clairement que le studio été aux meilleurs de sa forme, lors de la production. Que puis-je peux rajouter de plus : Les décors son varié et travaillée, les mouvement et expression des personnage crédible. Un point, où je n’ai pas grand-chose à dire.

Protagoniste attachant et marquant : L’une des grandes forces d’un récit doit être ses personnages et là aussi Le Roi Lion tape fort ! D’abord, il y a Simba, notre héros central et future roi de la terre des Lions. On s'attache facilement à lui et on n’a aucun mal à le comprendre dans les épreuves qu'il vie et son parcour pour reprendre sa place. Ensuite, il y a Nala, qui débute comme sa copine, lorsqu’ils sont enfant, avant de devenir sa love-interst adulte. Heureusement elle ne se limite pas qu'as ça et à un vrai rôle dans l'histoire. Ensuite il y a le sage Rafiki, un sorte de guide qui aidera Simba dans son aventure. Et pour finir, les sidekick iconique : Timon et Pumba. Deux persos qui auraient pût se limiter à des perso de décors là que pour faire rire, mais non, leur rôle va plus loin que ça, vu qu'il forme une sorte de famille pour Simba qui lui permettront un peu de se refaire une vie.

Méchant Disney au top : Qui dit vieux Disney, dit forcément méchant iconique. Scar en n'es un et pas pour rien ! Impitoyable, manipulateur, stratège, mais aussi polie et sachant cacher son côté cruel. Je ne peux rien ajouté qui n'as pas déjà été dit des tas de fois. Mais je me permets aussi de mentionner le trio de hyène (un peu sous-coté à mon goût). Ils ont certes un rôle majoritairement comique avec Shenzi en chef un peu plus sérieuse, Benzai comme le comique un peu moins fauté et Ed dans le rôle de l'idiot du groupe, créant ainsi une bonne dynamique. M mais eux et leur homologue de la même race savent être une menace pour les héros, quand il le faut !

BO Elton et Hans: Comment parler de ce film, sans évoqué sa musique. Vous pensez là, surement au chanson, composé pars la popstar mondial Elton John et qui sont magistral ! L'histoire de la vie et Soyez Prêt sont respectivement dans le haut du panier des chanson d'intro et de méchant créer pars Disney. L'amour brille sous les étoiles n'es pas dans le haut panier, mais reste une excelente chanson d'amour. Pareil concernant les chansons légères : Je voudrais déjà être roi et Hakuna Matata. Mais faut pas pour autant les compositions du grand Han Zimmer. Tantôt épique, tantôt émouvante et dans l'ensemble impactant, elle mérite bien sa place parmi les œuvres majeurs du compositeur Allemand.

Mort sombre et mémorable : Avouez-le, vous vous attendiez à ce que je parle de cette scène : La mort de Mufassa! Une scène magistrale, qui en plus est l'une des plus sombre jamais fait dans un Disney ou un film familial tout court. Que sois le moment, où Scar balance son frère dans les gorges, où il se verra écraser pars les gnous que la découverte de son cops sans vie, où les réactions de son fils son naturel et où à tout autant de peine que lui face à ce qui s'est passer. Toutefois celle de son frère et meurtrier mérite également d'être retenu. En effets, le fait d'être dévoré pars ses acolytes, donc il a trahi la confiance est une mort assez brutale pour un film tout public (même si, on ne la voit que sous forme d'ombre).

Action prenante : Autres point notable du films : son action ! Que se soit la course poursuite contre les hyènes, la charge des gnous dans les gorges ou le climax du film, tous ses scènes on leur dose d'intensité et servent le récit et les personnages.

Emotion ressenti : C'est un point en lien avec la scène culte évoqué plus tôt. Franchement voir un perso aussi important dans la première partie être tuer en milieu de film et de façon aussi cruel, ça a de quoi attristé le spectateur. Il en va de même pour le deuil de Simba, qui est assez prenant à suivre et crée de la bonne attache envers lui.

Moral louable : Comme beaucoup de Disney, Le Roi Lion véhicule une moral, qui ici est en plus assez mature et louable. Ce message étant que "Qu'il faut accepter de faire face à son passé douloureux, car il vous hantera et finira toujours pars refaire surface". On le vit de pars notre jeune roi en exil qui essaye d'oublier son passé douloureux et le ferra grâce à Timon, Pumba et leur façon de vivre. Sauf qu'il devra se rendre compte en fait, il ne peut fuir éternellement son passé et doit prendre en main ses responsabilité. C’est un message inspirant envers les enfants comme les adultes.

POINT NETAGIF

Chanson coupée : Là c’est plus un regret qu’un véritable défaut, mais je voulais malgré tout parler de ça. Il existe une chanson qui aurait bien eu sa place dans le film, même si elle fit des années après son entrée dans l’adaptation de Broadway et la suite ! Je parle bien sûr d’Il Vit en toi. Au passage, je préfère les deux versions du spectacle (la première étant chanté pars Mufasa, après la scène où il gronde son fils et la deuxième pars Rafiki lors de la scène, où Simba voit son défunt père) à celle qui ouvre Le Roi Lion 2. Non pas, que cette dernière soit mauvaise, mais dans le spectacle, elle font tellement l’effort de raconter quelque choses, qu’elle parais fade en comparaison. Comme je trouve qu’elle aurait mérité sa place dans le film, même s’il y pire comme point.

Morale secondaire condamnable : Là, on entre dans la casse polémique. Si j’ai loué la morale du film, il n’en pas de même pour les p’tit sous-texte qui eux sont vraiment critiquable. Le fait qu’avec les hyènes on sous-entende que l’ostracisme s’est bien et qu’accueillir une population étrangère sur ses terres peut foutre en l’air le pays. Que les lionnes soient dépendant d’un male et n’en vienne jamais à renverser le règne de Scar, malgré leur nombre et le fait qu’il sois contre le règne de Scar. Que le Statu Quo de monarchie de droit divin ne puisse être modifier, malgré les défauts qu’il présente. Après ce n’est pas non plus un point horrible ! Je ne pense d’ailleurs pas que j’étais voulu de la part des scénariste ou que les enfants remarque ses message en découvrant le film. Mais n’empêche que c’est un point, où je ne peux fermer les yeux.

Perte de crédibilité pour Scar : Même si il est un très bon méchant, Scar perd un peu en crédibilité dans la seconde partie. Déjà il laisse filer Simba, alors qu’il aurait pu le tuer direct, lorsqu’ils étaient seul (de la logique de méchant cartoon, ensuite). Ensuite il sera majoritairement défini pratiquement comme une locke qui glande, prend des mauvaises décisions et cache mal sa haine envers Mufassa au point on se demande pourquoi personne ne pense qu’il aurait posiblement tuer son frère. Pas assez pour ruiner son personnage, mais malgré tout un point négatif.

Fin, un peu rushé : Je ne cache pas que la fin est un peu trop rapide à mon goût. Après que Scar ai abdiqué dans l’estomac de ses ancien associé (donc le sort n’es pas du tout montré d’ailleurs), Simba reprend sa place de roi et alors la pluie se met à tomber, alors qu’il escalade le rocher des lions. Puis un court épilogue, où voit le cycle se répéter avec Simba et Nala qui ont un enfant et le présente au autre animaux comme au début du film. Perso je préfère les épilogues plus longs qui montre comment les héros leur après aventure. Mais bon, ce ne sont que mes goûts !

Duel Simba/Scar=Cheaté: Je résume, nous avons d’un coté Simba qui durant les dernière année a passé le plus clair de son temps à glander et ne pas faire grand-chose de ces journée et de l’autres Scar qui doit être plutôt âgé et qui en plus se considère davantage comme un intello/stratège. Mais pourtant à la fin, on n’as droit à un combat épique, où ils semblent être en pleine forme et à puissance égale. Certain trouveront que c’est du chipotage ! Mais je m’en fous, c’est un défaut pour moi.

Nala, la retrouvaille hasardeuse : Finissons-en avec le crachat sur ce film. Le fait que comme par hasard, Nala chasse comme pars hasard à l’endroit où Simba vit son exile est une facilité scénaristique assez grosse. C’est d’autant plus dommageable que l’explication de « Pourquoi s’est-elle aventurer aussi loin de la terre des lions ? » provient d’une scène coupée. Parce dans le premier script, Scar devais chanter une sorte de suite à Soyez prêt intitulé The madnes of king Scar, où il désir avoir une reine et choisi pour ce rôle Nala. Nala refuse cette demande et choisi de quitter la terre des lions. Ce passage sera parti ailleurs intégrer au spectacle de Broadway. Mais même sans ça, c’est des retrouvailles assez hasardeuse, fait pour que Simba sois enfin informé de la situation de son ancien chez lui et de sa gestion pars son oncle.

CONCLUSION

Inutiles de dire que Le Roi Lion est un film culte qui vaut le détour pour petit et grand!