Le génie à l'état pur de Fernandel encore jeune (comme un puceau...) et l'imagination sonore et visuelle d'un réalisateur inspiré par son sujet. Les mouvements de caméra sont tissés comme un tapis qui mène Isidore (Zizi) de la vertu d'un benêt jusqu'au lieu de son déniaisement (ce beau panoramique dans la chambre) et qu'une chanson bénira de toute sa joie de perdre une vertu si peu vertueuse pour un plaisir si sain.
Des scènes savoureuses en cascade, une dynamique constante soutenue (ou suspendue) par quelques chansons réjouissantes.
Entre parenthèses, bien plus drôle que François 1er ou d'autres films célèbres avec Fernandel.