Première critique sur SC, quelle pression, je vais tâcher de faire court, de ne pas trop spoiler et d'éviter les fautes d'orthographe, car oui, à défaut d'écrire des critiques j'ai pu observer ce qu'il ne fallait pas faire.
L'intrigue du film repose sur un affrontement, celui qui oppose Tsukue Ruynosuke, un samouraï ne jurant que par son sabre, dont il est à la fois maître et esclave, à Bunnojo, un jeune marié respectable.
Hama, femme - prétendue sœur - de Bunnojo, effrayée par la réputation assassine de Tsukue, lui offre son corps en échange d'une défaite délibérée.
Mais lorsque son époux prend connaissance de l'adultère commis par Hama, il la répudie, et, pris de rage, finit par perdre le combat.
Deux ans plus tard, Ruynosuke est devenu Yoshida, il vit avec Hama et a un enfant, mais c'est désormais le frère de Bunnojo qui cherche à se venger.
Voilà pour le résumé.
Un noir et blanc qui magnifie le film tout en renforçant son aspect sombre et dramatique.
Une mise-en-scène des plus réussies.
Impossible de passer à côté de la bande-son, de l’oppressant à l'agréable, elle colle parfaitement à l'ouvrage.
Un film contemplatif au demeurant plutôt noir qui se laisse regarder, je ne suis pas fin connaisseur de chambara mais je puis toutefois avancer que Le Sabre du Mal est un pilier du genre.
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