C'est pas vraiment un film, ça ressemble plus à une protosérie télé. Scénario trop touffu : en 64 minutes, il y a 25 retournements de situation, et Simon Templar a toujours trois coups d'avance sur tout le monde, police ou voyous. Un peu fatiguant.
L'actrice principale est moche et ne sait pas jouer. Emmerdant pour une pseudo-femme fatale.
Par contre, George Sanders reste George Sanders. C'est-à-dire la classe et l'ironie personnifiées. Sans lui, ça serait pas vraiment regardable je pense.
Le Saint contre-attaque est le second d'une série de huit films, de 1938 à 1943 (plus une résurgence en 1953).