La Galice jusqu'à l'hallali
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Dans les années 30, le parti communiste italien, clandestin, cherche un espion dans ses rangs, à Turin. Le film suit de près l'homme chargé de cette mission et qui sert d'appât. Le sujet est excitant mais l'enchaînement des faits parfois opaque, avec une grande importance donnée à des dialogues le plus souvent dialectiques, sans jamais s'écarter de la ligne directrice, très rigide. La réalisation est précise, bien que parfois gâchée par des effets très années 70 (zooms intempestifs). La présence de Renato Salvatori et d'Annie Girardot est presque anecdotique, face à l'omniprésence de Gian Maria Volonte, marmoréen. C'est loin d'être le meilleur long-métrage de Francesco Maselli.
Créée
le 28 août 2023
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