16 mars 1979 sur La Saveur des goûts amers : "Un film truffé d'invraisemblances". 28 mars 1979 sur La Saveur des goûts amers : "Heu, zut." 11 mars 2011 sur La Saveur des goûts amers : "J'ai dit zut.
Suite aux incidents de Fukushima, je suis tombé sur ce film « catastrophe » sorti… 12 jours avant la mère des catastrophes nucléaires, celle de Three Mile Island.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça fait froid dans le dos. Le film n’est pas à proprement parler un film catastrophe parce qu’il ne va pas au bout des dangers suggérés. Mais le plus intéressant, c’est surtout la démonstration de l’impossibilité d’assurer une sécurité fiable. Le film décrit d’abord la volonté de l’entreprise gestionnaire du site nucléaire de minimiser les faits pour protéger ses intérêts (minimiser les coûts, les responsabilités pour éviter les fuites dans les médias, mentir pour pouvoir ouvrir une prochaine centrale, et ça va même jusqu’à la tentative de meurtre, mais là on espère qu’on reste dans le cinéma…). Ensuite, on voit comment le personnel peut être amené à cacher des informations, consciemment ou non pour sauver leur peau et donc mettre en danger la fiabilité de la centrale.
Commentaire complet à lire sur La Saveur des goûts amers
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