A sa mort, un vieux peintre confie sa jeune maitresse à un moine pervers, lequel est humilié par son bonze de maitre. Elle va séduire ce moine, lequel résiste à ses pulsions...
Second film de Yuzo Kawashima que je vois, et j'avoue me demander ce que j'ai vu tant les changements de ton m'ont souvent décontenancé. On pense à une histoire d'amour pervertie, voyeurisme, comme un étrange jeu qui va se faire entre ces trois personnages ; mais d'une certaine façon, le générique, tout en couleurs (au contrario du reste du film, si on excepte un plan final) donne le ton sur la noirceur de l'histoire. Laquelle est illuminée par la beauté et le naturel de Ayako Wakao, que je préfère quand même dans Les femmes naissent deux fois.
Mais pour le reste, j'admets sans soucis avoir peu accroché à cette histoire protéiforme.