Le film m'a rappelé l'Ecume des Jours. La compagne du héros est elle aussi atteinte d'un meurtrier "nénuphar". Le héros est confronté à la guerre et construit, presque à son insu, des machines à tuer, comme le héros de Vian transmettant son énergie vitale à des canons de fusils.
C'est un beau morceau sur la perception nipponne de la guerre, et des effets du déclin d'un empire séculaire.
Même s'il traite d'un sujet moderne, non fabuleux, Miyazaki parvient à instiller sa dose d'onirisme habituelle.
Créée
le 1 oct. 2018
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