Dans il ladro di biciclete Vittorio da sica immerge le spectateur dans le quotidien et la misere d’un travailleur italien à la sortie de la seconde guerre mondiale. La trame du film est ainsi centrée sur un unique moment de la vie du personnage, un parti pris qui accentue la familiarité et la compassion du spectateur envers le personnage.
Tout le long du film nos sentiments grandissent pour les deux personnages principaux et ce grâce a une trame très épurée proche de l’enquête policière. Par ailleurs,le réalisateur insiste sur la misère du personnage avec des plans resserrés sur son visge et notamment sur celui de l’enfant souvent mis sur le meme plan que son père. Loin d’être un choix délibéré du realisteur le statut de l’enfant reflète celui des enfants en italie dans les années 50. Ainsi, l’enfant est pour ma part celui qui des le début a retenu mon attention et m’a ému. Cette forme de mimétisme entre les deux personnages m’a notamment rapellé les nombreux duos burlesques du cinema hollywodien.
Le dédale des rues romaines et le suivi du chemin du personnage dans rome invite le spectateur a retracer le parcours de ricci si il semble perdu et delaissé, nous spectateur ceons des liens avec ce qui pourrait etre un des autres mersonnages de ce film rome.
Ce film m’a plu car il m’a permis de découvrir un nouvel aspect de la culture italienne, un nouveau réalisateur. Par ailleurs, j’aime beaucoup les réalisateurs qui portent un regard sur l’enfance ici presque nostalgique.
Autre film aimé (+tardif)* Rocco i suoi fratelli*