La mécanique d'horlogerie implacable mise en route ne nous laisse aucun espoir sur l'issue des "luttes de classes". Pourtant, à un moment donné, le couillon de service qui apparaissait comme le plus vulnérable devient le seul à réussir
à foutre un
maximum de gens ( tous plus soumis les uns que les autres )
dans la merde .
L'amour n'est pas le plus fort mais il nous permet de résister ! nous conte Mizoguchi. Dommage que Le titre français (Une histoire de Chikamatsu en japonais ) nous prive hélas de l'espoir d'y croire un moment en trahissant l'issue de l'histoire. Un soupçon de suspense aurait évité au film son fatalisme quasi "réactionnaire".
Si vous voyez ce que je veux dire ,vous pouvez m'aider à nuancer ce propos que je n'assume pas complètement...