La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Un garçon de café se rêve en caïd de la pègre. Un jour, il passe à l'acte. Les amants maudits ressemble à une série B américaine, avec beaucoup de talent en moins. L'histoire est racontée par un policier à un scénariste qui veut en faire un film mais attention, à mettant l'accent sur l'amoralité des truands. Une façon aussi de donner un peu de crédibilité documentaire, un peu à la manière de Dassin dans ses films noirs. Bon, la mise en scène de Willy Rozier est loin d'être au niveau et on frise parfois le navet pur et simple, malgré les rebondissements narratifs. L'interprétation, avec aucun nom connu, est assez quelconque. Ce film, à l'instar de nombreux policiers tournés au début des années 50, n'a pas grand chose à offrir. Ce n'est qu'un Bonnie and Clyde au rabais.
Créée
le 28 mai 2018
Critique lue 314 fois
1 j'aime
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
71 j'aime
13