Les Âmes vagabondes par RichardD
Stéphanie Meyer mène ses intrigues comme un pied (je pensais les quintuples deus ex machina fermement prohibés). Ses thématiques ne se renouvellent absolument pas (triangle/carré amoureux chelous et à la réflexion assez dégueulasse, découverte/séduction du monstre, caractérisation du monstre par un détail trop mignon, la nature c'est beau et c'est aussi dure, sans oublier le fameux "mes histoires sont violentes mais ne le montrons jamais").
Le seul espoir du spectateur égaré (ou du pervers téléchargeur) résidait dans Andrew Niccol qui manque de pot nous fait du "bienvenu à gattaca" à la sauce apple store.
Deux jolis plans sur deux heures, des décors volés à 127 heures les miroirs en plus et une voix off atrocement pénible c'est cher payé pour voir Saoirse Ronan se la jouer nelson Mandela de l'outrespace .