Du grand n'importe quoi du début à la fin avec une équipe de héros physiciens, rock stars, maîtres en arts martiaux et armes à feux qui affrontent des méchants extra-terrestres rouges, avec l'aide de gentils ET noirs...


Un film qui plaira aux amateurs de nanars en tout genre, ce dernier étant d'une inventivité à toute épreuve dans les accessoires, costumes, gags foireux et personnages inutiles. Ne cherchez aucune cohérence aux différentes trames exploités qui se téléscope, ou non, les unes les autres. Ne cherchez pas à comprendre pourquoi Jeff Goldblum sensé incarner un docteur est fringué comme un cowboy de la Mer de Sable. Mais surtout, ne cherchez pas à comprendre le plan des méchants : ils sont méchants et ça doit être suffisant... C'est comme ça !


Apparemment, une suite était prévue mais a été abandonné suite à l'échec du film. C'est dommage, mais pour notre santé mentale à tous, c'est certainement une bonne chose...

Barlbatrouk
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de science-fiction et Les meilleures comédies de science-fiction

Créée

le 22 févr. 2018

Critique lue 150 fois

Barlbatrouk

Écrit par

Critique lue 150 fois

D'autres avis sur Les Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8e dimension

Du même critique

Le Chant des saisons
Barlbatrouk
8

L'avis de whitelodge.fr

Je viens de découvrir Franco Piavoli, cinéaste artisan de Lombardie, avec ce film. Une très chouette découverte ! Le film dévoile la vie d'un village à travers le temps. Ce n'est ni un documentaire,...

le 15 avr. 2018

6 j'aime

Slave Girls From Beyond Infinity
Barlbatrouk
6

Les bimbos dans l'espace du Comte Zaroff

Relecture des Chasses du Comte Zaroff made in bimbos dans l'espace, Slave Girls est un petit film qui plaira aux amateurs du genre. Comme on peut s'y attendre le scénario est ballot, les décors tout...

le 3 févr. 2018

4 j'aime

Le cerveau qui ne voulait pas mourir
Barlbatrouk
6

Critique de Le cerveau qui ne voulait pas mourir par Barlbatrouk

Le cerveau qui ne voulait pas mourir sans casser des pattes à un canard se révèle être un petit bis du cinéma des années 50 sympathique. Le personnage du docteur fait immédiatement penser à celui de...

le 21 janv. 2018

4 j'aime